Organiste titulaire Léonid KarevConcerts-Messes avec orgueSamedi à 18h30, Dimanche à 9h, 11h et 19hVidéos-
A l’origine chapelle du couvent des pères de la Miséricorde de la rue de Varennes à Paris, la chapelle ayant été tout bonnement transportée pierre par pierre à Passy, quand les pères ont été expulsés en 1881.Initialement dédiée à Notre-Dame de la Miséricorde, elle est vouée en 1928 à Notre-Dame-de-l'Assomption de Passy, eu égard aux religieuses de l'Assomption dont le couvent se trouve plus loin dans la même rue.La chapelle est agrandie en 1934 par l'architecte Labro avec l'ajout-de bas-côtés. Enfin, en 1952, on construit une seconde nef, donnant à l'église une forme très peu banale. Notre-Dame-de-l'Assomption-de-Passy est de style néo-classique avec une très belle coupole à la croisée des deux nefs.
D5Un premier orgue a été construit à la fin du XIXème par la maison Abbey de Versailles pour l’Eglise Notre Dame de l’Assomption de Passy à Paris. Suite à l’agrandissement de l’église vers 1952, l’orgue d’origine fut racheté par la paroisse Ste Bernadette de Brignogan (Finistère) où il se trouve toujours. Plus d’infos…L'orgue actuel de Notre-Dame de Passy a subi plusieurs transformations et a changé au moins trois fois de propriétaire. Construit par Charles Mutin, au tout début du XXe siècle, il a bénéficié de toutes les techniques et robustesses de fabrication qui ont fait la réputation de cette maison. Nous ne savons rien du premier propriétaire de l'instrument, sans doute était-ce un riche particulier amateur d'orgue, ou une petite communauté.En 1928, l'orgue est racheté par le comte Léonce de Saint-Martin, organiste titulaire de Notre-Dame de Paris, pour son appartement de la place des Vosges. Gutschenritter remonte l'instrument et profite de ce travail pour apporter quelques modifications et adjonctions à l'orgue de Mutin, dont un troisième clavier qui ne comporte aucun jeu mais sert de clavier d’accouplement, donnant ainsi plus de possibilités au jeu de l'organiste. L'instrument avait à cette époque 19 jeux.Le chanoine Boulard, curé de l'église Notre-Dame de l'Assomption ayant réalisé des travaux d'agrandissement de l'église dans les années 1950, cherche à remplacer le modeste orgue qui occupe la deuxième tribune au fond de la nef. A cette époque Emmanuel de Villèle, alors organiste titulaire de l'église, apprend que l'orgue de Léonce de Saint-Martin est en vente. Il en informe aussitôt le Chanoine Boulard qui en fait l'acquisition.L'instrument est remonté par Beuchet-Debierre. D'importants travaux d'agrandissement et d'électrification sont entrepris afin d'adapter l'orgue aux dimensions de l'église et en augmenter les possibilités d'interprétation musicale. L'orgue essentiellement romantique, est transformé en instrument néoclassique , conforme à la mode de l'époque. Le remontage de l'ensemble est confié à l'harmoniste Jacques Picaud, collaborateur parisien des Ets Beuchet.
Organiste titulaire Léonid KarevConcerts-Messes avec orgueSamedi à 18h30, Dimanche à 9h, 11h et 19hVidéos-
D5Un premier orgue a été construit à la fin du XIXème par la maison Abbey de Versailles pour l’Eglise Notre Dame de l’Assomption de Passy à Paris. Suite à l’agrandissement de l’église vers 1952, l’orgue d’origine fut racheté par la paroisse Ste Bernadette de Brignogan (Finistère) où il se trouve toujours. Plus d’infos…L'orgue actuel de Notre-Dame de Passy a subi plusieurs transformations et a changé au moins trois fois de propriétaire. Construit par Charles Mutin, au tout début du XXe siècle, il a bénéficié de toutes les techniques et robustesses de fabrication qui ont fait la réputation de cette maison. Nous ne savons rien du premier propriétaire de l'instrument, sans doute était-ce un riche particulier amateur d'orgue, ou une petite communauté.En 1928, l'orgue est racheté par le comte Léonce de Saint-Martin, organiste titulaire de Notre-Dame de Paris, pour son appartement de la place des Vosges. Gutschenritter remonte l'instrument et profite de ce travail pour apporter quelques modifications et adjonctions à l'orgue de Mutin, dont un troisième clavier qui ne comporte aucun jeu mais sert de clavier d’accouplement, donnant ainsi plus de possibilités au jeu de l'organiste. L'instrument avait à cette époque 19 jeux.Le chanoine Boulard, curé de l'église Notre-Dame de l'Assomption ayant réalisé des travaux d'agrandissement de l'église dans les années 1950, cherche à remplacer le modeste orgue qui occupe la deuxième tribune au fond de la nef. A cette époque Emmanuel de Villèle, alors organiste titulaire de l'église, apprend que l'orgue de Léonce de Saint-Martin est en vente. Il en informe aussitôt le Chanoine Boulard qui en fait l'acquisition.L'instrument est remonté par Beuchet-Debierre. D'importants travaux d'agrandissement et d'électrification sont entrepris afin d'adapter l'orgue aux dimensions de l'église et en augmenter les possibilités d'interprétation musicale. L'orgue essentiellement romantique, est transformé en instrument néoclassique , conforme à la mode de l'époque. Le remontage de l'ensemble est confié à l'harmoniste Jacques Picaud, collaborateur parisien des Ets Beuchet.